C’est l’Université d’Oxford qui est à l’origine de cette expérience. Pour y parvenir, les chercheurs ont adapté des capteurs et des caméras sur une Nissan Leaf capable de se substituer à un chauffeur. Une innovation que le Département des transports britanniques voit d’un bon œil. En effet, ces véhicules autonomes ou automates, selon la dénomination retenue, seraient fiables et à même de maintenir d’eux-mêmes une distance de sécurité avec l’automobile qui les précède.
Pour l’heure, les tests auront essentiellement lieu en zones rurales, sur des routes peu fréquentées. De même, pour des questions notamment de responsabilité, la présence d’un humain sera requise. Ce dernier pouvant aussi reprendre la main en cas de pépin technique.
Une nouvelle révolution des transports qui risque de faire de nombreux adeptes.